Le chômage et le sous-emploi sont des maux devenus de plus en plus récurrents dans les sociétés actuelles. Cela constitue un véritable frein pour le développement économique de plusieurs nations. Face à cette situation, beaucoup de jeunes se sont lancés dans l’autoentrepreneuriat, une nouvelle méthode efficace pour sortir de la poigne du chômage.
Qu’est-ce que l’autoentrepreneuriat ?
Ayant vu le jour en ce 21e siècle, l’autoentrepreneuriat est une profession majoritairement libérale. Elle consiste pour une personne, homme comme femme, à exercer son activité en toute légitimité et en toute tranquillité afin de jouir du fruit de ses efforts personnels. En d’autres termes, grâce à l’autoentrepreneuriat, l’on a plus à besoin d’attendre de percevoir un salaire de l’État ou du gouvernement. Toute personne qui crée sa microentreprise ; qu’il soit étudiant, salarié ou demandeur d’emploi, devient donc un autoentrepreneur. Cependant, il devra établir un kbis en ligne .
Quelles sont les activités favorables pour les autoentrepreneurs ?
Il existe principalement trois types d’activités possibles pour un autoentrepreneur, dont les activités commerciales. Elles prennent en compte l’achat et/ou la vente de marchandises notamment, les denrées alimentaires, les meubles et autres objets qu’on peut commercialiser. À cela s’ajoutent les activités artisanales. Elles concernent la production, la transformation et la répartition des objets ou produits. Cette catégorie d’activités fait appel à un savoir-faire, incluant diverses professions. De plus, nous avons les activités libérales, distinctes de tout autre secteur d’activité. Ce domaine s’intéresse beaucoup plus aux compétences intellectuelles et conceptuelles. C’est le cas des architectes, traducteurs et autres professions se situant dans le même rayon.
Comment déclarer sa microentreprise ?
Pour devenir un autoentrepreneur de renom, il est primordial de remplir un certain nombre de conditions. Tout d’abord, il faut se déclarer pour exercer votre activité dans le plein droit. Les critères varient en fonction de votre domaine d’activité. Ainsi, pour une activité artisanale, il faut s’acquitter d’une taxe payable au niveau de la chambre de métiers en plus de ses cotisations sociales. Ceci est basé sur le chiffre d’affaires réalisé. Pour une activité libérale, la déclaration se fait en ligne, suivie de quelques formalités totalement gratuites. La déclaration en ce qui concerne les activités commerciales, est également gratuite. L’autoentrepreneur devra néanmoins payer une taxe déterminée à la base de son chiffre d’affaires. Cette taxe correspond aux frais de chambre de commerce. Il faudra donc s’inscrire dans ce cas aussi auprès de la chambre de commerce et de l’industrie. En dehors cela, il est indispensable d’anticiper les frais liés à l’ouverture d’un compte bancaire pour vous faciliter les transactions avec l’extérieur.
En somme, l’autoentrepreneuriat est un métier d’actualité et accessible à tous.